Enregistrement
du reportage
(MP3 - 1Mo)
Pas d'images donc, mais vous ne perdez pas grand chose. Rien de nouveau sous le soleil : on voit une main cliquer sur une souris, un CD qui rentre dans un graveur, un screen de Kazaa ... et un bureau ou des gendarmes scrutent le Web, notamment plusieurs groupes de news dont alt.bittorrent et alt.music.mp3.
Lien
vers la video complete sur le site de TF1
(instable, interface peu pratique et streaming défaillant)
Les 3 intervenants
sont dans l'ordre :
- l'adjudant-chef Toussaint (cellule de veille Internet de Rosny sous-Bois)
- Alexandre Archambault (Free)
- Gilles Bressant (SNEP)
FAI, majors, autorités
: tous les acteurs sont donc représentés, sauf... les internautes,
ceux contre qui il faut se "protéger". Si la loi sur l'économe
numérique est évoquée, en tant que solution au piratage
par la censure, les problèmes en rapport avec la vie privée et
la liberté d'expression passent complètement à la trappe
! En effet l'intervention du responsable de Free ne porte que sur l'impossibilité
technique de surveiller les contenus.
Pendant ce temps les majors, par la voix du SNEP, continuent de passer pour
de saints entrepreneurs sans qui la musique n'existerait plus.
Vous l'aurez compris, encore un reportage partisan, construit pour aggraver encore les amalgames entre Internet, copie et vol. Lamentable mais peu surprenant, dans la suite logique de cet article au titre racoleur et mensonger : 'peer to peer = contrefaçon'.